Malgré tous ces efforts, la baisse des ventes va décider Triumph à faire appel à Giovanni MICHELOTTI pour sortir en 1979 le premier cabriolet TR7 ! et raviver les amateurs de cabriolet ! Et suivi la TR8 avec le V8 rover 3,5, direction assisté, etc…
Puis une troisième délocalisation sur le site de « Solihull » en 1980.
Malgré tous ces efforts, la marque va finir sont existence en 1981.
Pourtant la TR7 a été la TR La plus vendu plus de 112 000 exemplaires.
Alors on peut se poser des questions ?
Il est vrai que ça ligne peut gène, mais une fois a son volant cela prend tout son sens !
Brève histoire de la TRIUMPH TR7
C'est le styliste Harris MANN, qui a fait ses débuts chez Austin Morris, qui dessina la Triumph TR7.
C’est le choc pétrolier, et les rumeurs sur les nouvelles exigences des américains sont de ne plus accepter de cabriolet et de gros moteurs pour des questions de sécurité.
Donc la Mission qui lui ais confier c’est de s’appuyer sur ces critères.
Ah!!! la TR7
Mon histoire avec la Triumph TR7:
Après avoir lu des BD de YOKO TSUNO (http://www.yokotsuno.com) où apparait une voiture aux allures assez sympa une  fiat  X1/9 du styliste Bertone.
Je me suis renseigné et là, coup de foudre. mais il ne dure pas, car seules les tailles moyennes peuvent la conduire (sniff), je touche le volant avec les genoux et je dépasse du toit (ce qui a fait rire un ami ) bref je dois me résigner.
Au cours de l'année 1994 en allant faire quelques courses, je vois une TR7 croyant voir la Fiat X1/9 mais je la trouvais plus imposante et un peu différente. En m'approchant, je vois la marque TRIUMPH d'un côté puis TR7 de l'autre. Ce jour, je caressais le rêve d'avoir une TR7.
C'est après que je rencontre Michel Bouthier, un passionné de Triumph où je la découvre en coupé.
Mais à ce moment là, je ne me doutais pas qu'un jour j'en posséderai une voir plus !
Maintenant visitez mon site a bientôt ...............
 
C’est comme cela que le coupé vu le jour début 1975 et commercialisé sur le sol américain.
La TR7 est née sous le signe de la différence ce qui fit son charme mais lui valut aussi de nombreuses critiques.
Contrairement aux autres TR c'est une monocoque, plus de châssis/coque. Des phares rétractables, des formes très vives et une taille généreuse : 4.17 m de long pour 1.68 de large en bref, plus moderne.
Une autre surprise vient du moteur qui ne succède pas à celui de la TR6 6 cylindres mais est un 2L 4 cylindres avec boîte 4 vitesses.
Les pneumatiques sont montés en 175/70/R13, qui permette un confort de route. L'habitacle et le tableau de bord en plastique remplace le charme du bois, trop difficile à intégrer dans cette nouvelle conception, pour la modernité du plastique.
Ce cocktail d'innovations surprenant et déroutant avait tout pour conquérir le marché américain. La construction sur site « Speke » a des problèmes sociaux entre Triumph et ces employés (mauvaise facture) et cela nuit à la réputation de TR7.
Triumph délocalisa son site de production en 1977 sur « Canley » et de ce fait retrouva la qualité de sa production puis améliores certain point, mais la voiture est toujours boudée par les acheteurs.
Du coup, cette année-là (tiens, ça me rappelle une chanson… !) la voiture va évoluer : elle sera désormais chaussée en 185/70/R13 et aura une boîte 5 vitesses.
HISTORIQUE